Concert en soutien au SEUM – Vendredi 10 mars
Concert de soutien au SEUM ce vendredi aux pavillons sauvages !
Concert de soutien au SEUM ce vendredi aux pavillons sauvages !
« En cette fin janvier 2023, 3 millions de prolétaires ont défilé en ordre de bataille dans les villes de France contre une nouvelle réforme des retraites. Cette réforme est le symbole éphémère d’une entreprise de démolition en règle des travailleuses et des travailleurs, entreprise qu’on appelle capitalisme.
L’île d’Haïti est, encore une fois, bien secouée par un soulèvement, depuis maintenant plusieurs semaines.Tout le mois de septembre, on a vu des images de manifestations, de pillages, d’émeutes, de barricades, d’attaques d’entreprises et de bâtiments publics, dans la quasi totalité des villes du pays.
Les prix continuent de flamber, d’un feu qui ne réchauffe pas ! On nous annonce un hiver glacial, une énergie plus chère que jamais, les loyers montent aussi, tout est trop cher ! C’est l’ensemble du prolétariat dans le monde qui est attaqué à travers la fameuse inflation : celle qui nous appauvrit pendant que les bourges s’enrichissent.
En ces temps d’insurrections à répétition en Iran, il est plus qu’utile de se plonger dans l’excellent bouquin de Tristan Léoni consacré à la Révolution en Iran en 1979. En un peu plus de deux cent cinquante pages, l’auteur replace l’Iran dans son contexte social, culturel et politique à la fin des années 1970, et détaille l’enchainement des événements des années 1978 et 1979. Le sous-titre (« Notes sur l’Islam, les femmes et le prolétariat ») rappelle que cet ouvrage est l’occasion d’une réflexion plus large sur la lutte des classes et de la révolution.
Se lever tous les matins, aller bosser, sortir du boulot à 17h, rentrer, recommencer. La vie de Mark ressemble à celle de tant de prols de par le monde. Une petite différence quand même, quand il arrive au bureau le matin ses souvenirs en dehors du travail disparaissent, et quand il passe la porte le soir pour rentrer chez lui c’est l’inverse : ses souvenirs de taf se volatilisent.
Le « quoi qu’il en coûte » visant à conjurer les effets de l’épidémie du Covid sur l’économie française, ne semble pas s’appliquer pour tous les pays. Surtout lorsque ce ne sont pas des pays du centre de gravité du capitalisme international, ce qui joue sur le rapport à l’endettement.
Salut le Seum, je t’écris pour partager une petite expérience de sabotage au taf…
Les prix flambent et ils ne sont pas les seuls. Avec l’été, on s’attend aussi au retour des méga-feux, aux catastrophes diverses. Face à ces flambées climatiques et sociales, certains se proclament pompiers. Des coalitions de gauche prétendent prendre les États et les utiliser pour arroser d’aides les prolos, bâtir un capitalisme vert, social-démocrate.
Les prix montent. Tous ? Non. La hausse actuelle des prix indique une lutte sourde entre les différentes forces sociales qui existent dans cette société, pour savoir qui va ramasser la douille.